F.I.E.R: Election d'un nouveau président (Gargotte le 22/02)

Citation :

Le FIER a élu Otto Bismarck à la tête du parti avec plus de 87 % des suffrages en sa faveur, et un taux de mobilisation de près de 90 % de la part des adhérents.

Voici l’allocution d’intronisation du nouveau président du FIER :

Chers élus, adhérents, Berrichons, chers amis,

Tout d’abord je tiens à remercier ceux qui m’ont accordé leur confiance pour accéder à la présidence du FIER, et j’invite tout le monde à se joindre à moi pour construire ensemble ce parti que nous chérissons tous. Je vous le dis, nous aurons besoin de tout le monde et chacun aura sa place.

Notre Parti est à une étape importante de son existence, cinq mois déjà se sont écoulés depuis sa création. Le FIER, avait dès l’origine, pour conviction profonde, de se faire le porte parole des exclus du pouvoir, et de ceux qui, préférant la méritocratie, avaient décidé de se dresser contre l’oligarchie en place. Ce parti, est le résultat de tous ces Berrichons qui avaient quelque chose à partager, quelque chose à donner pour cette terre qu’ils chérissaient, une envie profonde de changement et de nouveauté.

Ce désir intime d’une union, aspirant à une certaine vision du Berry, fut le moteur essentiel de l’action des conseils Ducaux issus du parti, et demeure encore, la motivation principale de tous ses membres. Nous croyons, depuis toujours en un Berry fort, indépendant et rassemblé autour d’un homme, garant de nos valeurs, qui prévalent sur le régime des partis, cet homme, nous le reconnaissons en la personne du Duc George Le Poilu, qui restera à jamais, le souverain de tous les espoirs.

Souvenons nous, qu’il fut un maire brillant à Saint-Aignan, qui fort de cette expérience, avec la collaboration précieuse d'Ethelred, maire de Sancerre à cette époque, réunit des Berrichons de toutes conditions, pour se porter candidat devant le peuple, à la fonction suprême de Duc. Il démontrait par sa fulgurante victoire, qu’il ne suffisait plus d’être noble ou bien placé pour acquérir une fonction, mais que désormais, seul le mérite, légitimait les ambitions.

En accédant à la présidence du FIER, je sais que les responsabilités sont immenses, en m’exposant ainsi aux éloges comme aux blâmes, aux critiques serviles comme polémiques et aux réussites comme aux échecs. Malgré tout cela, je veux être porteur d’espoir et de renouveau, pour que les Berrichons gardent confiance en un parti qui s’est toujours construit avec eux, en prenant soin de ne laisser personne au bord du chemin. J’ai toujours eu comme conviction intime, que le Berry ne pouvait être le Berry sans la grandeur, car je crois que notre Duché, doit faire valoir une voix, celle de la raison mais aussi de l’indépendance d’opinion, vis-à-vis de ses voisins parfois belliqueux.

C’est parce que je crois dans la puissance étatique, en refusant de me résigner à la fatalité du destin, que j’ai pris la présidence du FIER, pour que celui-ci, réponde à vos exigences légitimes, et vous redonne confiance à la fois sur le plan collectif et sur le plan individuel. Je veux que le Parti ait pour tous les Berrichons, de grands desseins qui forment enfin le projet que vous attendez tous. N’ayez plus peur des partis, nous sommes ouverts, tolérants et aspirons aux débats pour que ce programme et ces élections vous ressemblent et qu’elles portent vos espoirs, pour qu’ils deviennent enfin réalités.

Alors mes chers amis, je terminerai par ces quelques mots qui résument à eux seuls, le fond de ma pensée, et le moteur de mes convictions :

Vive le Duc et Vive le Berry !

Otto Bismarck
Président du FIER
Procureur du Berry